Soirée de fin d’année et playlist collaborative : effet pschit ou waouh ?

Cette année, je me suis proposé pour animer aux platines la soirée de fin d’année d’Univers Poche, à partir d’une playlist composée avec l’ensemble des collaborateurs qui le souhaitaient.

De mon côté, c’était la réalisation d’un vieux rêve et, pour Univers Poche, une action de communication interne sympathique et innovante.

La constitution de la playlist.

Nous avons invité les collaborateurs à choisir une chanson qu’ils voulaient entendre à entrer sur un Excel partagé – il y a sûrement des méthodes plus modernes, mais celle-ci a semblé la plus immédiatement accessible.

Tout de suite, le choix des morceaux a généré des échanges, gentilles moqueries, enthousiasme, partage, blagues, bonne humeur. Une fois la playlist bouclée, nous avons passé une fin de journée à plusieurs, dans mon bureau, pour compléter avec les « indispensables »…

C’est ainsi que j’ai découvert ce tube qui met tout le monde d’accord  – du moins du côté féminin…

La préparation de la playlist

Énorme travail, mais j’ai adoré le faire, pour préparer les enchainements ; plus d’une dizaine d’heures pour faire coexister Kendrick Lamar avec Billy Paul, Johnny – hommage, forcément – et Mark Ronson.

Pour m’aider, j’avais pris des notes et des marques sur le logiciel (extraordianiare Virtual DJ)

L’installation

Préparation…

C’est là que les choses se compliquent et deviennent plutôt stressantes. Si vous vouliez, vous aussi, tenter l’aventure, assurez-vous d’être accompagné d’un pro de la technique. C’est Nova, la radio, qui organisait la soirée à la Maison Sage et alors là, bravo à l’équipe qui a été tellement sympa et pro ! Merci Théo 😉

Sauf que… J’ai dû changer en cours de route de version de logiciel et ce faisant, perdu toutes les marques posées sur les morceaux… L’heure de rab que j’avais prévue s’est révélée très utile.

La soirée

Eh bien ça y est, c’est parti, la soirée a commencé pour 4 h de mix. Et là, ça prend tout de suite, parce que les gens reconnaissent leurs chansons, parce qu’ils connaissent le DJ et veulent aussi lui faire plaisir, parce qu’il y en a pour tout le monde.

Parfois cela retombe un peu, certaines chansons sont moins dansantes, moins connues ou moins aimées, mais globalement, chacun est assez solidaire du « moment » que l’autre a choisi et le soutient en dansant même si ce n’est pas la musique qu’il aime.

De mon côté, j’ai adoré. J’avais prévu un déroulé que finalement je n’ai pas respecté pour répondre aux demandes de celles et ceux qui « voulaient entendre leur chanson avant de partir, alleeeez, please ! – Ok, la prochaine ».

Conclusion : Waouh !

Donc, au final, un bilan définitivement positif, que je conseille si vous avez le DJ sur place et surtout, avec l’aide d’une structure qui vous assure – et vous rassure -, le bon fonctionnement de la machine.

Comme un projet d’entreprise en somme.